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ART CONTEMPORAIN DANS LA VILLE : UTOPIE(S) ?
Du 15 janvier au 19 février 2011
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Carte blanche aux plasticiens qui vont s’approprier la problématique proposée : Utopie(s).
Les lieux d’exposition : Médiathèque de l’Arche-Guédon, l’Aquarium (café associatif), MJC A. Philip, Rhizome / Ferme du Couvent, Petit Théâtre de l’Arche.
Vernissage samedi 15 janvier 2011 à la Médiathèque de l’Arche- Guédon et à l’Aquarium (café associatif).
Le programme du 15 janvier :
• Exposition Natalia Grabundzija
11 h 30 : vernissage Médiathèque de l’Arche- Guédon et à l ’Aquarium (café associatif) - Place des Rencontres.
• 15 h : rencontre avec les habitants.
• Exposition Olivier Balu, Caroline Bouyer, Thierry Caron, Gaël Turpo, Art Métisse.
19 h 30 : vernissage suivi d'un repas partagé à Rhizome – Ferme du Couvent.
+ La Ruche, ateliers de création associés : 13 – 16 ans / vacances de février : 14 – 18 février
Partenaires : Ville de Torcy, Réseau des médiathèques du Val Maubuée, Réseau Cafés des Lumières et les associations EBEAAG, Emergence et Interstice.
Les artistes :
> Olivier BALU
> Caroline BOUYER
> Thierry CARON
> Natalia GRABUNDZIJA
> Gaël TURPO
> ART MÉTISSE
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Olivier BALU
Mes tableaux sont des mises en scènes de personnages dans des situations à l'issue incertaine. La place du spectateur dont parlait Duchamp est d'imaginer à loisir qu'est-ce qui a pu provoquer de telles situations et quel en sera le dénouement.
Ici, la réalité (le réalisme) n'a pour seule fonction que de rendre la fiction possible dont la mise en scène doit permettre d'ouvrir des possibles sans jamais les refermer.
Art contemporain dans la ville: utopie(s)?
Oui bien sûr, c'est même nécessaire. Parce que l'art est une ouverture, il décuple les possibilités. Si l'art doit s'ancrer dans la réalité préexistante, c'est uniquement pour en révéler d'autres potentiels.
Interchange
100x81 cm
Huile sur toile
2010
Floating Island
100x89 cm
Huile sur toile
2010
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/// Atelier /// 70 rue de Ménilmontant, 75020 Paris
06 20 13 96 45 /// 01 43 61 51 62
bouyercaro@yahoo.fr
http://www.carolinebouyer.fr/
J’ai découvert la gravure à l’âge de quinze ans en intégrant la formation des métiers d’art de l’école Estienne.
J’ai immédiatement été fascinée par cette technique, par le contact physique et le rapport sensuel à la matière ainsi que par le processus mental anticipation du résultat. Cette fascination, à l’origine de mon engagement, a fait de la gravure, mon premier mode d’expression artistique.
A partir de 2004 j’ai développé conjointement des recherches sur la technique du carborundum et sur l’exploration graphique des chantiers urbains dans la zone de reconstruction du XIIIème arrondissement de Paris.
J’ai dans un premier temps voulu entreprendre un travail de mémoire sur la ville et ses mutations sans jugement ni prise de parti. J’ai donc, travaillé à l’élaboration d’une série de douze gravures en effectuant régulièrement des reportages photographiques in situ suivis d’un travail de dessin et de gravure en atelier.
J’ai découvert en réalisant ce travail un intérêt grandissant à m’approprier la friche, espace de liberté par excellence, d’horizontalité vouée à disparaître rapidement sous la verticalité des constructions.
La technique du carborundum m’a donné l’opportunité de restituer une écriture plastique et texturée. De nombreuses expérimentations m’ont permis de maîtriser les valeurs de gris, très peu exploitées avec cette technique, plus souvent utilisée de manière binaire pour la force de ses noirs.
Bibliothèque François Miterrand
2009
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Thierry CARON
ADOMA, vers la maison ?
Documentaire visible à l'adresse : http://www.thierrycaron.com/
C'est l'histoire d'un lieu à travers les gens qui l'habitent.
Un foyer ADOMA, ex-SONACOTRA, devant lequel nous sommes tous passés.
Vous pourrez me suivre, en choisissant la lecture linéaire,
Ou vous y perdre, chambre après chambre.
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Natalia GRABUNDZIJA
> Utopie(s) - Torcy, voyages en images - Atelier rencontre avec un groupe de femmes
> Voir une galerie d'œuvres de Natalia GRABUNDZIJA
> Site Web de Natalia GRABUNDZIJA
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Gaël TURPO
> Voir la page " Galerie " du site de Rhizome
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ART MÉTISSE
Exposition Caddie
La marche en ville ouvre des sentiers, des chemins, des routes, elle
génère le sentiment de l’espace, proche ou démesurément plus
lointain; elle dessine les villes, les jardins, entraîne l’apparition des
cartes, des guides de voyage, d’un équipement adapté.
A pieds, les lieux que nous fréquentons restent reliés entre eux.
Ainsi marcher, c’est reconquérir l’espace.
C’est être en prise avec les imprévus, les rencontres et les surprises
liées aux facteurs externes. C’est tout simplement se donner du
temps, du plaisir, de la liberté, du danger.
La marche à pied dans ce cas est bien autre chose qu’un moyen de
locomotion : elle est une façon d’envisager le monde!
J’aime voir l’homme projetant son action sur le monde extérieur,
étant lui-même façonné en retour.
Les outils et objets manufacturés sont des prolongements du corps
dans l’espace. Le chemin est un prolongement du marcheur et
marcher est autant une manière de fabriquer le monde que de
l’habiter. Marcher exige un engagement corps et âme, c’est une façon
de connaître le monde à partir du corps, et le corps à partir du
monde.
« 100 PAS » pièce chorégraphique dansée par Isabelle David met en
scène un petit traité anthropologique sur la bipèdie humaine.
Le caddie en exposition est le prolongement du VPH ( Véhicule à
Propulsion Humaine), objet satirique symbolisant la volonté du bipède
humain d’aller toujours plus loin et plus vite.
Art métisse.
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